C’est sous une pluie battante que Martin Hurlevent arriva devant les portes du château d’Anjou. La garde du palais le conduisit dans une petite pièce qui devait servir de vestibule. Il se posta devant la grande cheminée où quelques bûches flambaient vivement. Il était trempé de la tête aux pieds et n'aspirait qu'à une chose: un peu de repos . Admirant les ornements du plafond et les quelques tapisseries accrochées aux murs, il attendait qu'on vienne...